Ça y est, on a testé pour vous nos recettes d’hiver (oui, on fait un métier pas facile…)
A cette occasion, nous voulions vous parler de notre petit chouchou, le homard bleu.
En belles tranches, avec des crozets de Savoie fondants cuits dans son fumet, relevé au piment d’Espelette… (j’en veux !)
Et pourquoi on a choisi celui-ci plutôt que le rouge. Ou le violet d’ailleurs, comme on peut en voir à l’aquarium de Dieppe, baptisé Milka par la fille du pêcheur qui l’a trouvé en référence aux tablettes d’un certain chocolat…
Mais là, stupeur, on apprend que le homard violet a mué dans son aquarium, et est devenu rose.
MUÉ! Ça alors, les cours de 5e sont loin, on avait oublié que ça muait un homard.
Amateurs d’étrange, régalez-vous, c’est le cadeau du jour:
PS: et alors, rouge ou bleu? Les deux sont délicieux. Leur couleur s’accorde avec les eaux dans lesquelles ils vivent. En ce qui concerne le homard « breton » ou Européen, comme l’explique très bien lemanger.fr dans un article passionnant, « Habitant les zones infra-littorales, c’est-à-dire entre 50 et 60 mètres de profondeur, il vit dans le grand bleu. Par conséquent, logique, il est bleu. » PS 2: si vous aimez les petites broches homard comme sur l’image c’est par ici